A LA UNE Politique

Présidentielle 2024 : ce qu’il faut retenir du programme de Malick Gackou

Les orientations stratégiques

du programme «P.A.S.S.»
 L’emploi des jeunes,
 la suppression de la pauvreté,
 l’alimentation et la sécurité alimentaire,
 la santé et le bien-être,
 l’éducation,
 la mise en avant de la dimension culturelle et
sportive,
L’initiative PASS suggère des mesures et interventions d’ampleur,
notamment :
 La revitalisation de la croissance dans divers secteurs,
 L’accentuation de l’épanouissement humain durable,
 Le renforcement de la qualité de la gouvernance à des niveaux
administratif, politique et juridique.
Des mutations profondes attendues dans les principaux domaines suivants :
Notre mode opératoire
 l’égalité des sexes et le soutien aux activités de
production de la femme,
 l’accès aux services sociaux, l’assainissement,
 l’environnement et l’amélioration du cadre de vie
 La gestion des ressources naturelles
Faire aux problèmes de grèves des enseignants, de qualité de l’enseignement, de faible taux de scolarisation
et d’alphabétisation, surtout dans les zones rurales
Le Sénégal doit investir davantage dans l’éducation pour former les ressources humaines dont il a besoin pour son émergence.
Le développement du secteur éducatif.
Améliorer l’accès aux soins de santé, la prévention et le traitement des maladies, la disponibilité
des médicaments et des équipements, la motivation et la formation du personnel de santé
Le Sénégal doit aussi faire face aux conséquences de la pandémie de Covid-19, qui a affecté son économie et sa population.
Le renforcement du système de santé.
Saisir les opportunités offertes par les découvertes de pétrole et de gaz, mais aussi diversifier ses sources de revenus,
en développant les secteurs agricole, industriel, touristique, etc.
Le Sénégal doit aussi renforcer son intégration régionale et internationale, en améliorant ses infrastructures, sa fiscalité,
son climat des affaires, etc.
La diversification et la compétitivité de l’économie.
Garantir le respect de l’Etat de droit, la lutte contre la corruption, la protection des droits humains, la transparence et
l’impartialité de la justice.
Le Sénégal doit aussi éviter les interférences politiques dans le fonctionnement de la justice, qui peuvent nuire à sa
crédibilité et à sa légitimité.
L’indépendance et l’efficacité de la justice.
Le Sénégal doit favoriser l’engagement et la représentation des citoyens dans la vie politique, notamment
des jeunes, des femmes, des minorités, des personnes vulnérables
Le Sénégal doit aussi promouvoir le dialogue social, le consensus national, la cohésion sociale et la paix civile.
La participation et l’inclusion citoyennes.
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Le développement du secteur éducatif

Il est essentiel que le Sénégal augmente ses investissements dans le domaine de l’éducation afin de développer les
compétences humaines nécessaires à son développement. L’éducation, qui est l’un des fondements du
développement humain, doit non seulement préparer les jeunes à intégrer les professions émergentes et à maîtriser
les technologies modernes, mais aussi renforcer leur sens civique pour consolider notre patriotisme face aux
influences culturelles extérieures.
Notre système éducatif sera revisité et modernisé par les principales actions ci-après :
1. Amélioration de l’infrastructure scolaire : Investir dans la construction et la rénovation des écoles, en particulier
dans les zones rurales et défavorisées. Cela comprend la fourniture d’équipements modernes et la garantie d’un
environnement d’apprentissage sûr et propice.
2. Formation des enseignants : Mettre en place des programmes de formation continue pour les enseignants afin
de les tenir au courant des dernières méthodes pédagogiques et des technologies éducatives.
3. Curriculum axé sur les compétences : Réviser le curriculum pour qu’il soit plus axé sur les compétences et
répondre aux besoins du marché du travail. Cela comprend l’intégration de l’enseignement des STEM (sciences,
technologie, ingénierie et mathématiques) et l’accent sur le développement des compétences du 21e siècle
comme la pensée critique, la résolution de problèmes et la créativité.
4. Technologie dans l’éducation : Intégrer davantage la technologie dans l’éducation, par exemple en fournissant
un accès à Internet dans toutes les écoles et en utilisant des outils d’apprentissage en ligne.
5. Éducation inclusive : Mettre en œuvre des politiques pour assurer une éducation inclusive pour tous, y compris
les filles, les enfants handicapés et ceux issus de milieux défavorisés.
6. Partenariats public-privé : Encourager les partenariats entre le gouvernement, le secteur privé et les
organisations non gouvernementales pour soutenir l’éducation.
7. Formation professionnelle : Mettre en place des programmes de formation professionnelle pour fournir aux
jeunes les compétences nécessaires pour réussir sur le marché du travail.
Par ailleurs, je propose de créer un programme d’éducation civique qui mettra l’accent sur les valeurs de solidarité,
de compassion, d’empathie et de respect. Ce programme sera intégré dans le système éducatif à tous les niveaux, de
l’école primaire à l’université. Il comprendra des cours, des ateliers et des activités pratiques pour aider les citoyens à
comprendre et à adopter ces valeurs dans leur vie quotidienne. De plus, nous encouragerons la participation active
des citoyens dans la gestion des collectivités locales et la répartition des biens et services.
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Par ailleurs, nous instaurerons en lieu et place de la CMU qui montre ses limites une assurance maladie de base
qui allégera les individus des coûts financiers liés aux soins de santé primaires. Cette assurance pourra prendre
en charge tout ou partie des dépenses médicales essentielles, permettant ainsi à tous les citoyens, quel que soit
leur statut socioéconomique, de bénéficier des soins nécessaires sans subir de pressions financières excessives.
En définitive, notre objectif à moyen terme est d’opérer une transformation totale de notre système de santé pour
qu’il puisse offrir à chaque citoyen des “services de santé préventifs et curatifs pour tous”. Nous croyons
fermement en la valeur intrinsèque de la santé de nos citoyens et en leur droit à un accès égal et universel à des
soins de qualité. C’est dans cet esprit que nous œuvrerons sans relâche pour concrétiser cette vision ambitieuse et
vitale pour le bienêtre de notre nation.
L’une de nos priorités sera de construire des infrastructures médicales de
qualité, non seulement dans les zones urbaines, mais aussi et surtout dans
les régions rurales qui sont souvent délaissées. Nous estimons que l’accès aux
soins ne doit pas être entravé par la géographie, et c’est pourquoi nous
accorderons une attention particulière à la fourniture de services médicaux de
qualité dans les lieux les plus isolés de notre nation.
Nous sommes également conscients du rôle essentiel du personnel médical
dans la fourniture de soins de santé. Pour cette raison, nous nous engageons à
pallier les manques de professionnels de la santé dans les zones où ils sont
insuffisants. Nous veillerons à recruter, former et affecter des professionnels
qualifiés pour répondre aux besoins de chaque communauté, contribuant ainsi
à améliorer l’accessibilité aux soins médicaux.
Le renforcement du système
de santé.
Nous sommes résolument engagés à faire en sorte que chaque personne puisse jouir
d’une accessibilité totale aux soins de santé, quel que soit son lieu de résidence. Pour
réaliser cette vision, nous mettrons en place des actions concrètes qui changeront le
visage de la santé dans tout le pays.

La diversification et la
compétitivité de l’économie

L’impact de la crise COVID et du conflit Russie-Ukraine, comme souligné dans le PAP2A, a mis en évidence la
nécessité d’assurer la souveraineté et la sécurité alimentaire du pays. Cela implique de renforcer l’autonomie sur les
produits de base et de promouvoir la consommation locale. Nous nous engageons à poursuivre et même à
intensifier les efforts entrepris par le gouvernement actuel pour atteindre cet objectif essentiel pour le bien-être des
Sénégalais.
Le secteur primaire au Sénégal contribue à environ 15% du PIB et emploie plus de 60% de la population active. Il est
dominé par l’agriculture, l’élevage, la pêche. Cependant, il fait face à de nombreux défis, tels que la faible
productivité, la dépendance aux aléas climatiques, l’insuffisance d’infrastructures, la faible valorisation des produits
locaux et l’insécurité foncière. Malgré les efforts des gouvernements successifs pour développer ce secteur, les
résultats attendus ont été contrariés pour plusieurs raisons:
1. Ressources halieutiques : Le secteur de la pêche a subi un recul à cause de la diminution des débarquements de
la pêche artisanale liée à la raréfaction des ressources halieutiques.
2. Élevage : Le sous-secteur de l’élevage a enregistré un repli.
3. Manque de ressources en eau : Le manque de ressources en eau suffisantes est un problème majeur pour le
secteur primaire.
4. Rareté des moyens technologiques : La rareté des moyens technologiques est un autre défi
5. Exode rural : L’exode rural a également une incidence sur le secteur primaire.
6. Choix de production controversés : Certains choix de production, comme la prédominance à la culture de
l’arachide, sont controversés.
Une réforme du secteur primaire au Sénégal pourrait viser à renforcer sa compétitivité, sa durabilité et sa résilience,
en s’appuyant sur les opportunités offertes par le dividende démographique. Pour cela, il faudrait :
Accroître l’accès des jeunes à la formation, au financement, au foncier et aux technologies adaptées pour les
inciter à s’installer en agriculture et à développer des activités innovantes et rentables.
Promouvoir l’entrepreneuriat agricole et l’agro-industrie, en facilitant l’intégration des jeunes dans les chaînes
de valeur agricoles et en les accompagnant dans la création et la gestion de micro-entreprises.
Renforcer les capacités des organisations professionnelles agricoles et des institutions de soutien au secteur
primaire, en les impliquant dans la conception et la mise en œuvre des politiques publiques et en renforçant leur
rôle de représentation et de plaidoyer.

DÉVELOPPER UNE AGRICULTURE DURABLE ET RÉSILIENTE
Nous voulons réorienter l’agriculture pour améliorer le niveau de vie, augmenter les revenus, stimuler l’emploi et
promouvoir un aménagement territorial équilibré. Nous renforcerons la coopération entre l’agriculture et les
autres secteurs. Nous investirons dans des infrastructures pour encourager des chaînes de valeur équilibrées.
Nos initiatives seront basées sur quatre axes : la gestion de l’eau, la revitalisation des sols, la modernisation des
pratiques agricoles et pastorales, et la préservation des espaces forestiers. Nous rapprocherons les producteurs et
les transformateurs locaux de l’arachide. Nous fournirons des semences adaptées, nous garantirons l’achat de la
production, nous soutiendrons les huileries et nous supprimerons les maillons superflus. Notre objectif est de
renforcer la sécurité alimentaire et de créer des emplois pour les jeunes et les femmes dans l’agrobusiness. En
somme, notre engagement dans l’agriculture vise à promouvoir la sécurité alimentaire, à améliorer les conditions
de vie, à stimuler l’économie rurale et à favoriser une gestion durable des ressources naturelles.
La transformation et la commercialisation de l’arachide sont d’une importance cruciale. Elles seront facilitées par
une collaboration plus étroite entre les producteurs et les transformateurs locaux. Nous envisageons d’assainir le
système de gestion et distribution des semences De plus, une garantie d’achat de leur production sur une période
fixée de façon inclusive sera mise en place. Les huileries en activité recevront un soutien, que ce soit par la
suspension des importations d’huiles ou par l’application d’une TVA réduite. Notre but est d’éliminer les
intermédiaires inutiles dans la chaîne de valeur pour protéger les acteurs impliqués et renforcer ainsi la sécurité
alimentaire. Cette révolution agraire vise à offrir des opportunités d’emploi à 30% des jeunes dans le secteur agro-
industriel, tout en favorisant la participation des femmes et des jeunes dans les segments les plus prometteurs de
l’agrobusiness.
Ces mesures permettraient non seulement d’améliorer la sécurité alimentaire du pays, en augmentant la
production et la disponibilité des denrées alimentaires locales mais aussi de créer des emplois décents et durables
pour les jeunes, en leur offrant des perspectives d’avenir dans le secteur primaire.
Améliorer les infrastructures et les services ruraux, en investissant dans l’irrigation, le stockage, le transport,
l’énergie, la santé, l’éducation et la communication, afin de réduire les coûts de production, d’améliorer la
qualité des produits et de faciliter l’accès aux marchés.
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Pour faire progresser la lutte contre la pauvreté, assurer la sécurité alimentaire, augmenter les opportunités d’emploi
et stimuler la croissance économique, les initiatives suivantes seront mises en œuvre:
Optimisation de la Gestion des Ressources Halieutiques: Des efforts seront déployés pour améliorer la gestion des
stocks de poissons, revitaliser les écosystèmes aquatiques et prendre en compte les effets du changement climatique
sur les activités de pêche.
Expansion et Valorisation de l’Aquaculture: Nous envisageons de renforcer le secteur de l’aquaculture et de
promouvoir la transformation locale des produits, afin d’ajouter de la valeur à l’économie.
STRATÉGIE POUR LA PÊCHE ET L’AQUACULTURE
Réorientation de la Commercialisation: L’accent sera mis sur le ciblage des marchés locaux, régionaux et
internationaux pour la distribution des produits issus de la pêche et de l’aquaculture.
Renforcement de l’Intervention Étatique et Coopération Internationale: L’efficacité de l’intervention
gouvernementale dans ce secteur sera améliorée, et nous chercherons à développer des partenariats sous-régionaux
et internationaux pour une gestion plus efficace et durable des ressources aquatiques.
REHAUSSER LE SECTEUR DE L’ÉLEVAGE
Notre ambition est de dynamiser le secteur de l’élevage pour assurer une sécurité alimentaire robuste, en mettant
l’accent sur l’amélioration de la qualité, l’augmentation du volume et la diversification des produits animaux. Pour y
parvenir, nous envisageons de :
 Moderniser les installations et les équipements dédiés à l’élevage.
 Établir une certification de qualité pour les produits issus de l’élevage.
 Investir dans la recherche et le développement spécifiques au secteur.
 Former les participants de l’industrie dans des métiers tels que la boucherie et la gestion pastorale.
 Soutenir financièrement la mise en place de boucheries modernes et de différentes unités de transformation.
 Optimiser la génétique, la production, la productivité et la santé animale.
 Incorporer l’élevage dans les chaînes de production locales et structurer le secteur par filière.

Gouvernance Économique Et
Intégrité Financière Au Sénégal :
Pour Une Économie Forte Et Transparente
Le Sénégal, à l’image de nombreux autres pays, est à un carrefour
économique crucial. Les défis liés à la gestion des finances
publiques, la mise en place d’un budget équilibré et la lutte
intransigeante contre la corruption exigent une attention
particulière. Si nous souhaitons construire une économie
nationale solide et souveraine, il est impératif de repenser et de
réajuster nos mécanismes financiers et nos pratiques de
gouvernance.
FINANCEMENT ÉQUILIBRÉ POUR UNE SOUVERAINETÉ ÉCONOMIQUE
La sous-bancarisation observée au Sénégal met en lumière les défis auxquels sont confrontées nos entreprises, en
particulier les PME et PMI. L’avenir économique de notre nation nécessite une réforme profonde de son mode de
financement. La mise en œuvre d’un programme robuste axé sur le développement du système financier vise
précisément à améliorer les conditions de financement de l’entreprise nationale. Cette démarche aura pour objectif
de corriger le déséquilibre du financement, garantissant ainsi une plus grande souveraineté économique pour le
Sénégal.
RENFORCER L’ÉTHIQUE ET LA TRANSPARENCE DANS LA GESTION PUBLIQUE
Les marchés de l’État ne doivent pas simplement être perçus comme des instruments d’échange économique; ils
doivent aussi encourager la formalisation des activités économiques. En faisant des marchés publics un levier pour
la transition du secteur informel vers le formel, nous instaurons une culture d’entreprise plus transparente et
responsable.
L’efficacité de notre fiscalité et la qualité de la dépense publique sont deux piliers essentiels d’une gouvernance
économique robuste. Une gestion plus rigoureuse et transparente des finances publiques est nécessaire. Elle
implique de mettre en place des critères objectifs pour l’ordonnancement des dépenses publiques, assurant ainsi
responsabilité, transparence et justice sociale. Pour compléter cette réforme, une augmentation du taux de
recouvrement des impôts est également prévue, visant à garantir les ressources nécessaires pour le
développement national.
VERS UN SÉNÉGAL ÉCONOMIQUEMENT RESPONSABLE ET PROSPÈRE
Il est clair que le chemin vers une économie sénégalaise forte et intègre demande des efforts conséquents et des
décisions courageuses. Avec ces mesures, nous engagerons le Sénégal résolument vers une gouvernance
économique exemplaire, posant les fondations pour une prospérité durable et équitable pour tous ses citoyens

 

 

Groupes Vulnérables:
Une Vision Intégrée
AUTONOMISATION DES FEMMES ET ÉGALITÉ DES CHANCES
Nous nous consacrons à renforcer l’autonomie des femmes en éliminant les
obstacles qui entravent leur pleine participation dans divers secteurs clés. Des
initiatives seront lancées pour encourager l’éducation des femmes et leur
alphabétisation, ainsi que pour stimuler leur pouvoir économique par des
programmes de microfinance et des lignes de crédit flexibles. De plus, nous
visons à augmenter la présence féminine à 25% dans les postes de leadership
en valorisant leurs compétences.
SOUTIEN À LA FAMILLE ET À L’ENFANCE
Je propose la création du Programme National d’Assistance Familiale pour l’Éradication de la Pauvreté (PNAFEP). Ce
programme comportera une allocation familiale universelle, un bonus éducatif pour les familles dont les enfants
sont scolarisés, ainsi que des aides alimentaires et sanitaires. Il offrira également des formations professionnelles
pour les adultes et un accès prioritaire aux services de santé. Une aide au logement sous forme de coupons sera
aussi disponible. Le but est de réduire la pauvreté de moitié en cinq ans, en finançant ce programme par des taxes
progressistes et des aides internationales.
En ce qui concerne l’éducation religieuse, nous mettrons à jour et moderniserons les « daaras » pour offrir un
environnement éducatif bien équilibré qui combine enseignements religieux et compétences pratiques. Un Fonds
de Soutien aux Daaras sera créé pour faciliter cette transformation.
PROTECTION DES ENFANTS ET DES GROUPES VULNÉRABLES
Des mesures concrètes seront prises pour éradiquer les formes dangereuses de travail des enfants, y compris la
mendicité monétisée. Des alternatives solides comme l’adoption ou le placement dans des centres spécialisés
seront proposées pour les enfants abandonnés.
BIEN-ÊTRE DES AÎNÉS ET SÉCURITÉ SOCIALE
Je propose le Programme National de Soutien aux Aînés (PNSA) visant à assurer une vie digne pour les personnes
âgées. Ce programme garantira une allocation financière équivalente au salaire minimum vital, un accès facilité aux
services de santé et des initiatives pour combattre l’isolement social. Il s’agit d’un engagement à valoriser et
protéger nos aînés, contribuant ainsi au bien-être général de notre société.
INCLUSION DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP
Nous développerons un cadre législatif et des mesures pour garantir que les personnes handicapées jouissent des
mêmes droits civils et humains que tous les citoyens. Un fonds dédié à l’achat d’équipements adaptés sera établi,
ainsi qu’un réseau de soutien intégral financé de manière pérenne pour les personnes en situation de handicap.
Un Pacte Social pour

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